Play date with death

Boussole
Grain dans ses mains, eau comme berceau. Soin entre ses doigts, guérison comme pavillon.
L’homme est né à Ka’hauni. Fils d’une famille de pêcheurs modestes, suffisamment pour entrer au service de la Guilde. Il est né géant. Grand bambin dans une famille petite, il n’a manqué de rien. Il a vécu une enfance paisible dans le sillage d’un père qui lui a tout appris. Tout. Ancien combattant officier, traumatisé par Anevine, dont Abel n'a vu que le smog de ses yeux d'enfants, le paternel a appris à son premier né à se battre, mais aussi toutes les ficelles du métier de pêcheur. Il captait vite l’enfant, l’adolescent. La magie s’immisça dans son corps comme une vague de chaleur. Ce jour où paniqué par une plaie ouverte, il ne fit que l’ouvrir davantage et de faire accélérer le palpitant d’un matelot. La frayeur, l’angoisse. Il fut arrêté et contrôlé rapidement sous le regard inquiet d’un paternel qui finit par faire appel à une aide bien précieuse. Une shaman expérimentée de l’Opale. Ensemble, sur tous les terrains, ils apprenaient l’importance de contrôler en premier ses émotions. Il devenait souvent hermétique, Abel. Ce qui lui facilita l’apprentissage. L’adolescent devient jeune adulte puis homme. Jusqu’à ce qu’il la rencontre.

Comme la nuit, elle était belle. La douce luit, sous le ciel
Abel ne voyait qu’elle, elle ne se perdait qu’à travers lui. Moïra. Douce et belle, tendre et rebelle. Noble surtout. Elle renie sa vie dorée pour une vie d’hameçon et de tripes de poisson. Mais ce qu’elle affectionnait le plus c’est la brise sur son visage au bout du pont. Sa peau légèrement tannée mais surtout rougie, faisait un effet certain sur le jeune Ab’ qui décida à cet instant qu’elle serait sien et qu’il serait sienne. Tout entier et inconditionnellement. C’est ainsi que malgré les avertissements et les menaces de la noble famille, ils se marièrent et entamèrent une vie merveilleuse.

Danse, mon amour, montre moi à quoi tu penses.
Elle était sublime dans tous les apparats, Moïra. Ses courbes se posaient si bien entre les paluches du mastodonte. Son derme chaud, sa cambrure élancée, et cette manie de tourner, encore et encore. Elle lui aura tout appris, tout. Les danses, les bonnes manières. Et il a tout pris, tout assimilé. On lui riait au nez mais il a accepté le défi sans broncher. Râle au fond de la gorge, il se propulsa au sommet de sa petite situation. Son but, prouver qu’il n’est pas qu’un moins que rien, un chien des ports. Mais un marchand honnête, bosseur et qui prenait soin de son épouse. Un regard amusé se dessinait sur le visage de l’intéressée, lorsqu’elle observait sa moitié danser, débattre et faire claquer les mots avec une répartie mesurée et raisonnée. Elle lui reconnaissait cette qualité. Ce caméléon. Mais cela ne ravissait point la famille de la douce qui espérait plus et mieux. Aurait-elle au moins fait un héritier de cette sale et indigne union ?

La vie est vilaine, autant que la mort est chienne.
L’antre de la Dame ne voulait pas se remplir. Ne voulait pas porter la vie. Malgré l’appel d’une shaman spécialisée dans les plantes et autres remèdes pour l’aide à procréer.   Etrangement, elle tombait malade et perdait l’héritier tant désiré. L’incompréhension alors. Une femme si pleine de vie ne pouvait donner plus. L’aura fut tremblante au sein du foyer. Ses parents furent attristés. Quant à la belle famille, le tort était mis sur le karma. Karma d’avoir renié son rang. La colère ne pouvait que gagner la bête qui chaque jour se transformait en ce loup protecteur. Il ne supportait point que l’on s’en prenne à son bonheur et surtout à sa Lady. Elle qui portait fièrement l’étendard de la famille de son époux comme un signe de liberté. Pourquoi la déesse ne répondait pas à leur appel d’amour ? De nombreuses fièvres essuyées par le mâle qui avait du mal à trouver l’origine de son mal-être.

Le renouveau comme célébration, le tombeau pour compensation
Le ventre s’arrondit un jour. L’homme couve et observe, accompagne sa compagne, la ménage mais la laisse aussi. Si tout se déroulait comme un stratagème rondement mené, sa santé déclina. Leur guérisseuse d’un air froid secoua la tête, fronça son nez de teigne pour lâcher franchement que l’enfant tuera sa mère de par sa taille. Un non-sens absolu. Fils de démon, dit-elle en jaugeant Abel qui ne saisissait pas ce qu’on lui reprochait une nouvelle fois. La culpabilité fit finalement son chemin. Il se demandait s’il n’avait pas été trop gourmand, trop demandeur, on le punissait et c’est Moïra qui en payait lourdement le prix. Il mit du temps, trop de temps pour comprendre qu’elle fut la cible d’une machination de sa propre famille, de son propre sang. Le sang. Tout était méticuleusement camouflé pour qu’il ne puisse le sillonner et y découvrir le poison qui s’y était installé. Ce soir là, il fit ses adieux à sa tendre Moïra, le regard empli de tristesse mais aussi de rage. Ils paieront. Le poisson avait laissé la place à une maladie mortelle qui lorsque le charme se souleva, dévoila l’étendue de l’horreur. Lorsque l’homme se plongea dans l’exploration mentale du corps de sa douce. Il ne ressentit que la mort. Une guérisseuse entra, et lorsqu’il demanda où se trouvait celle qui les suivait habituellement, on le regarda avec interrogation en répondant qu’il n’y avait point de guérisseuse portant ce nom. Juste une shaman ténébreuse et qu’il valait mieux ne pas l’avoir croisée, engagée souvent pour tuer. Il ne put retenir sa colère puis sa profonde souffrance, quand étalé dans les draps ensanglantés, le corps mort né de son enfant se présenta à eux. Il était beau mais insignifiant pour sa propre et haute famille. Il le posa, enveloppé, dans les bras de sa douce, s’excusant mille fois de tout ce qu’il avait osé lui infliger.  ”Mon amour… Tu n’es pas coupable, jamais… J’ai choisi d’être avec toi… Je l’ai… choisi… Il est beau, hein … ?” La voix faiblarde mais la bouche souriante. Une dernière fois, il la couvre d’une tendresse sans borne, des baisers, il les prend dans ses bras. Et alors qu’on lui demande depuis combien de temps la précédente “guérisseuse” exerçait au sein du foyer et qu’Abel fit le chemin dans sa tête. Depuis bien trop longtemps. L'œuvre d’une empoisonneuse. “Ils seront punis par les Dieux, Abel… Ils seront maudits, n’aies crainte… Reste avec moi veux tu … encore un peu… Parce que je t’aime… Encore un peu… encore… un… peu.” L’épouse s’éteignit là, sur ces mots. Il ne lui avait pas encore rendu la pareille. Et à cet instant, il en voulait à la terre entière.

Entre vengeance, perdition. Transe et punition.
Il se renferma sur lui-même, sur le monde et sur sa propre famille. Leur en voulant de n’être un rien. Rien. Juste à la botte de noble qui n’en avait strictement rien à foutre, de tuer leur propre héritière pour effacer l’hérésie d’une union. Il retrouva la shaman, et d’un accès de colère, lui brisa les os… Il en effraya bien des monstres, bien des gens. Mais rien n’avait plus de sens. Rien, comme lui. Porté par sa transe, le bezerk remonta la piste de sa belle famille pour les détruire. Mais ce qui l’y trouva fut presque sa fin. Il avait manqué de briser le fils chéri, le capricieux. Les fers autour des poignets, l’insulte crachée à la gueule. Il paya son affront. Lui le sourire aux lèvres répéta ce que leur avait dit leur fille et sa femme. Qu’elle les avait maudit, le corps de leur enfant décédé dans les bras, elle les avait maudit et les Dieux un jour l’entendront. La fureur dans les yeux des nobles, le dégoût. Un démon. Le démon. Il en avait fait un monstre, une bête et devait s’en dépêtrer. Le bâteau tanga jusqu’à une ville de Temerys, les chevaux vers une oasis. Un puit.

Douce fut la nuit au fond de ce puit

On l'a jeté ici, comme une merde. C'est ici qu'il a perdu sa sanité d'esprit. Souvent on venait le voir, lui murmurant des mots, des maux. Les paumes sur la mousse humide et poisseuse, il tapait son front, son crâne et parfois ses poings contre la roche. Puis il restait assis pendant des heures, posant un regard sur l'entrée du puit. Personne. Personne. Il était puni. Puni pour la mort de son épouse. Echec cuisant de ce mari guérisseur. Elle était fille de noble, il n'était rien. Qu'un pauvre pêcheur, pauvre. Mais elle... Elle ça lui suffisait et lui l'aimait plus que tout. Elle avait renié son titre pour lui, pour vivre une vie aux bords des eaux, sur le sable chaud. Mais le mal qui la rongeait était autre. Autre. Une noirceur grapillant l'ensemble de son corps. Il ne put que la soulager jusqu'à la fin, prenant sa douleur, souffrant avec elle pendant des heures, subir les fièvres assassines. Ses songes brisés par une chute qui le fit s’écarter de l’ouverture. ”De la visite, de ta mère”. La mère n’était plus bien sûr… L’odeur lui prit à la gorge, les prunelles se portèrent à une lettre bien camouflée au creux de sa main. Il tira le papier et le lit, une larme au coin de son regard. Il avait été odieux et sa douce mère voulait s’excuser de tout, de la mort de son père, chagrin au cœur et qu’elle l’aimerait toujours inconditionnellement, qu’elle ferait tout pour venir le chercher. Il crécha à son chevet, la recouvrant de pierre, tombeau pour une peut être pour deux…

Mais lorsque les naïades se sont pointées au bout du troisième jour, il sut qu'il allait crever s'il ne se bougeait pas le séant. Alors, il fonça dans le tas, quitte à crever ici, autant le faire avec une certaine vaillance ou cette envie suicidaire du tout ou rien. Amulettes prototypes autour du cou, elles ne tarderaient pas à redevenir poisson à la tombée de la nuit. Le combat faiblard puis plus vaillant s’engagea. Entre le cri des furies et les illusions en chaîne, l’homme perd peu à peu l’esprit, se laissant couvrir par le doux voile des ténèbres. Une ouverture, une pierre mal scellée. Ce puit était une passoire pour un homme de sa stature et énervé. L’homme s’agita comme un ours, s’écrasa sur le mur comme une vague sur un rocher pour finalement tomber avec les ruines. Dans la poussière se dessina un escalier salvateur. Escalier couvert de sable, il l’emprunta pour sortir de sa prison. Une grotte. Il était dans une grotte, des drapés. On le regarda étrangement. Des marchands des sables apeurés, des enfants. Il n’en eut cure, les analysant, en sang, il les laissa tranquille terré dans leur coin pour sortir et trouver ceux dont il était réellement l’ennemi. Au dessus du puit, un jeune homme amusé, à hurler les pires immondices qui pouvaient sortir d’une bouche aussi bien née. Tendant son bras, il resserra doucement son poing sur le jeune héritier moqueur qui se contorsionna de douleur. Un râle guttural se fit entendre alors que déséquilibré, le jeune homme tomba au fond du puit. Un cri s’échappa d’une bouche. La mer noble ne riait plus, elle se tint le visage de ses doigts déformé par la douleur que la vision de la chute de son fils lui avait porté. Des silhouettes coururent se dresèrent entre le Bezerk et le puit. ”Allons Abel… On peut s’arranger… ABEL !” Il n’y avait rien à arranger, tout lui avait été pris. Une autre main tendue vers le paternel. La jolie famille du seulement s’évanouir sous la douleur, car les cris du jeune mais aussi un vieillard le poussèrent hors de ses songes mortels. “Toi ! le rejeté ! Toi, le non voulu ! Abel Kalani !”

Monstre, monstre, éloigne toi. Monstre, Monstre, ne t’approche pas. Moi je crois que personne ne veut de toi.
“Oubliez moi !” prononça le mastodonte. Mais l’homme se dresse comme un Vestrit, homme qui prit le temps efficacement de le convaincre qu’il serait voulu là où il emmènerait. Pas de noble, pas de démocratie. Une tyrannie, asseoir sa puissance. Il s’en foutait de tout ça, Abel. Que pouvait-il croire d’un homme comme Elvard Vestrit ? Plusieurs fois sur le chemin, il hésita à en finir. Car il est vrai… Qui voudrait bien de lui.. Abel ? Toujours l’homme dans son dos, à lui rabacher, et la Bête incapable d’accueillir la mort. Il se retourne et dit “Ce sera Abel Kalaan, emmenez moi où on aura besoin de moi…”

Qui l’eut cru… Qu’il ne serait point déçu …?
L’homme lui montra son savoir faire sur le chemin du retour vers les quatre vents et Abel s’engouffra dans la brèche, reprit peu à peu le contrôle de son pouvoir, apprenant encore et encore. On l'entraîna, on le modela davantage. Elvard en fit son soldat privilégier, sa tête brûlée, celui qui plie les os des océanides ou naïades ou autres humains pour que son mentor en plie l’esprit. Complémentarité avérée, Elvard insiste sur le fait que son avenir sera grand s’il continue ainsi et s’il se trouve les bons alliés. Il fut intrigué. Mais il accepta sans broncher. On l’emmena sur une île. Et c’est ici qu’il aperçut sa moitié militaire.

Fébrile, fragile. Entre illusion et adoration
La dame de compagnie se déplaçait machinalement, discrètement. Elle semblait là et absente. Abel se demandait souvent pourquoi on s’entourait d’aussi frêle personne, teint parfait, tenue longiligne, aspect poupée. Elle ne servirait à rien en temps de conflit. Il se demanda aussi combien de temps il faudrait pour la briser s’il avait été son ennemi. Les jours s’égrainèrent et on le transféra finalement loin de cette douce vision. On le testa, déjà bien asservie, bien modelé, on le nomma Aîné. Il dû faire ses preuves comme tout le monde, mais se permit de prendre de longues pauses d’observation. Il n’était pas Opale Noire, mais Opale fortement corrompue. Il manipule ce qui touche aux corps plus que l’esprit. Lors des entraînements mentaux, il regardait mais on l'entraîna aussi à la résistance mentale. Lors des entraînements physiques, il contemplait. Et c’est là qui la revit. Dans les murmures critiques, on la nommait Elowen. La Dame de compagnie aurait donc été engagée par l’Onyx. Mh. Elle a accusé les coups. Une pluie. L’intrigue le poussa à l’approcher. Venimeuse, tous crocs dehors, il eut bien du mal alors il prit la vague et s’engouffra dedans.  Il finit par la pousser, lui offrir une épaule pour frapper, pour lui s’offrir un crachoir pour l’emmener dans ses retranchements. Elle s’est battit aussi sous ses mots, et sous ses encouragements.

Plusieurs fois, elle prit la poudre d’escampette, plusieurs fois, elle dû subir le courroux des Autres. sous ses paluches géantes il prit le temps de la guérir et, selon la gravité, porta une fièvre du diable. Il la lui laissait volontiers, la souffrance lorsqu’il jugeait la prise de risque trop conne. A chaque sortie d’isolement, il l’attendait et reprenait son chemin à ses côtés. Ils les auraient bien tous tués. Mais le combat n’était pas là… Lorsque vint le test concluant la formation, il fut pris d’une sorte d’angoisse. Ce fut étrange. Une vibration. Il s’élança. Une danse mortelle. Couverture d’hémoglobine. A l’issue de ce spectacle, on se mit à le fuir, à l’éviter, l’évincer. Et lorsque vint le rassemblement à Shova, les consignes étaient claires et leur cœur palpitant. Les os furent brisés, laissant quiconque accéder au moindre recoin de l’esprit de la victime. Un oeil sur sa coéquipière qu’il finira par rejoindre au sommet telle une ombre à la fermeture des portes. Le carmin emplissait les pavés. La journée fut belle et son acolyte le lui a confirmé le soir même sous les assauts de sa plume à tatouer. Il la signa ce soir comme certains autres.

Machine de guerre, viles mercenaires, à l’assaut de l’Archipel des 7 mers
On leur répèta les consignes… Elowen prise d’assaut. Elle envoya chier tout ce qui lui marmonnait des sermons à deux nodos. Un sourire amusé se dressa sur la trogne du mastodonte qui ne put s’empêcher de renchérir et de l’avertir. Punchlines amicales. Douces taquineries. Il ne s’en lasserait jamais au fond. Si elle se tait, c’est qu’elle est morte. Au fond de lui, cela le ferait bien chier. Même si la sanité l’a quitté elle aussi, Elowen restait l’individu la plus plausible à ses côtés. Celle avec qui il s’entendait le mieux. L’alchimie est dégueulasse tellement qu’elle fonctionne. De bons menteurs, des arnaqueurs, des putains de pantins bien rôdés, bien huilés.

Mais n’en déplaise aux professeurs, et malgré leurs avertissements de se méfier d’Elowen et de ses manies, Abel n’a pas l’intention de la trahir et a bien pour objectif de la suivre si tant est qu’elle n’ose se mettre en danger de manière irréfléchie. Il est hors de question que cette dernière s’amuse en enfer sans lui. Il jouera sa part du marché. Mais au vue du sourire aux coins des lèvres d’Elowen lorsque ses yeux se portent sur l’horizon, l’aventure promet et il veut être aux premières loges. Les insulaires ne sont pas prêts.

Vrac
Déteste la cigarette, mais ne dit pas non à un cigare festif. ¤ Est bardé de tatouage ¤ Sa femme a toujours aimé son signe de shaman, elle dit qu’il ressemblait à la tête d’un loup qui hurle à la lune ¤ Tatoueur de loisirs ¤ Il s'habille toujours très bien sauf lorsqu'il chasse ou torture ¤ Tient bien l'alcool ¤ Il tient aux bonnes manières ¤ il ne jure jamais sauf quand c’est trop tendu pour lui, et qu’il est dans une forme de détresse ¤ Il est très bon danseur ¤ Il met un point d'honneur à s'entretenir musculairement ¤ Se baigner est son loisir préféré ¤ S'il sait manier les armes, son arme de prédilection reste la hache. ¤ Il souffre encore lorsqu’il guérit les gens. Cela fait moins mal quand il les tue. Ou peut-être lui a t’on mit ça dans le crâne. ¤ Il sait se protéger des assauts des membres de l’Opale noire mais cela peut se montrer capricieux. ¤ on lui a déjà suggéré de briser les os d’Elowen, ce à quoi il a cédé avec légèreté, pour mieux faire diversion et de se retourner contre l’attaquant. Ce fut la première fois où il fit preuve de résistance mentale. ¤ il aime les chats surtout les maudits, les noirs. ¤ il sait jouer la comédie, le faux. ¤ il inspire tantôt la peur, l'inquiétude, tantôt une certaine accessibilité, fausse parfois, déroutante surtout. ¤ Il ne rechigne jamais devant un livre, c'est un objet très utile pour théâtraliser, jouer.