Le Bestiaire

DragonsHistoire : Sur les îles comme en mer régnaient des créatures tant magnifiques qu'effrayantes, les Dragons. Leur taille variait en fonction des espèces. Tantôt  confiantes, tantôt protectrices, ces monstres tenaient le territoire avec raison et fermeté. En réalité... Tout allait bien avant l'arrivée des Humains. Ces derniers sont devenus les ont détrônés en tant que prédateur principal. Le jour où les Hommes se sont montrés conquérant signa la fin pour l'espèce sur Terre ou dans les sables. Les réduisant en esclavages, montures ou autres formes les conduisant à l'extinction.

Les Hommes ont compris bien vite que, où se trouvait un dragon, un trésor était caché. A la bonne heure ! Alors, les grottes, les nids, les sous sols étaient pillés, la moindre pièce amassée mais aussi, le moindre œuf couvé.

Le Peuple des Hommes n'avait aucune idée d'où venait les trésors protégés et ne se posèrent pas vraiment la question. Davantage lorsqu'ils découvraient les Dragons des Mines créchant au sein des caves, ou autres couloirs de diamants.

Si les Hommes en tuèrent une majorité, la nature fit le reste. Ne pouvant s'adapter à leur mode de vie, ne pouvant plus se mouvoir à leur guise, les Dragons se mirent à défaillir, à tomber malade, se laissèrent mourir. Ainsi les Dragons des Terres, des Mines et des Sables se sont éteints. Leur cousin des Mers n'ont pas eu plus de chance, connaissant le même sort. L'avidité des populations marchandes n'eut aucune limite.

Catégories :

Dragons des Mers : Anciens amis des Océanides. Évoluant dans la mer dite des Dragons. Se trouvaient dans les grottes sous marine, sous les falaises, la moindre cavité. Certains plus compliqués à dénicher, se réfugiaient d'abord sous un pan rocheux, il fallait plonger pour remonter un trou d'eau et enfin accéder au nid. Il n'était pas rare de les voir côtoyer les Dragons des terres et des Mines, proches souvent d'un point d'eau.

Apparences : Écailles bleue nuit, griffes acérées, queue longiligne les ailerons la soulignant jusqu'à son bout.

Attaque : "Feu" Glacée et d'eau (la puissance, la pression étaient telles qu'elles démolissaient un corps.)

Oeuf : Bleu

Dragons des Terres / Des Mines : évoluaient sur les terres au climat frais ou tempéré. Affectionnaient les plaines, les roches, les grottes sous marine ou de mines. Il n'était pas rare de les voir côtoyer les Dragons des Mers.

Apparences : Écailles vertes parsemées de mousses (Terre), écailles argentées (Mines), griffes acérées, Queue en forme de masse (Terre) queue avec pointes (Mines)

Attaque : Feu lave (Terre), feu cristallisé (Mines)

Oeuf : Bleu

Oeuf : Vert avec un peu de mousse, ou gris argent

Dragons des Sables : évoluaient sur les terres arides et ensablées. Affectionnaient particulièrement les Dunes et les flans de montagnes.

Apparences : Écailles rouges soulignées de noir, griffes acérées, queue à sonnette.

Attaque : Feu tempétueux, pouvaient lancer des boules de feu à défaut d'un déferlement de flamme en continue. Avec ses ailes, ils pouvaient agir sur ses flammes et en créer une tempête.

Oeuf : Rouge orangé

Pouvoirs :
Ils avaient une puissance musculaire accrue, une taille conséquente. Ils avaient toujours la particularité de projeter du feu, de la glace.

Naïades Les naïades sont des sirènes bouffées par la solitude, certainement par de gros traumatismes. Elles ont refusé de se mêler aux humains, ce peuple immonde, et ont décidé de s'éloigner, de s'exclure. Mais l'eau douce et la solitude, être loin de leur famille, les ont conduites à la folie. Elles n'ont pas d'état d'âme, elles chantent, attaquent, noient et dégustent.

Pouvoirs :
Manipulation par le chant, les mots, la danse, les illusions
La maîtrise des plantes aquatiques et des eaux.
Pour tromper leur proie, elles donnent l'illusion et "empruntent" la forme d'un être cher, un animal sans défense.
Tromper pour mieux dévorer.
Leur venin est paralysant.

Territoires :
Les trous d'eau douce, les cascades, les grottes, certaines ont réussi à atteindre les oasis de Temerys, nous les surnommons les Sirènes des sables. Elles investissent ces havres de  fraîcheur. Les malheureux voyant la source, s'y précipitent et y meurent.